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La 43ème édition de la Ryder Cup, aura lieu du 24 au 26 septembre au Whistling Straits Golf Course de Haven, Wisconsin. Comment le Capitaine de l’équipe Europe prépare-t-il sa sélection des joueurs grâce à la DATA 

1/ la Data, l’outil impérieux du capitaine  de la Team EU pour la Ryder Cup

Depuis des années des millions de données sont récupérées par la société anglaise TwentyFirst group (TFG) dans le domaine du Foot mais aussi du Golf. En effet l’EUROPEAN TOUR a demandé à la société de mettre à disposition du Capitaine Padraig Harrignton (EU) une plateforme créée spécialement à l’époque pour Thomas Bjørn. Cette plateforme est nommée « Captain ».

En 2018 la data a permis d’accompagner très largement la victoire dans la sélection et le choix des joueurs des équipes durant les 3 jours de compétition.

Son design, la data science et l’ingénierie de cette plateforme unique ont facilité les prises de décisions stratégiques de Thomas Bjørn (précédent capitaine Team EU)

Le choix des joueurs et des équipes s’est fait sur de nombreux critères de performances des joueurs sur des période données, mais pas que!

Certes, les décisions étaient prises sur le taux de régulation des joueur, le taux de mise en jeu réussie (balle sur la zone du fairway), longueur de balles, mais aussi sur les typologie du parcours, l’affinité des joueurs, les « sentiments », et les performances collectives passées.

Cela a permis à Thomas Bjørn de gérer au mieux ses sélections de wild cards, de paires et d’ordre de jeu notamment lors des matchs de simple du dimanche.

Golf and Data Article – Start-up Golf Challenge

2/ Utilité de la Plateforme CAPTAIN pour le capitaine de la Team EUROPE

La stratégie est une part importante. On ne choisie pas les joueurs 12 meilleurs joueurs qu’en fonction de leur performances individuelles. On choisie surtout ceux qui ont les meilleurs complémentarités et les meilleures affinités.

La subtilité est de savoir qui peut apporter quoi à l’équipe, qui peut jouer en Foresome (formule de jeu du Start-Up Golf Challenge) , qui a bien joué avec tel joueur par le passé, et tout autre subtilité d’appréciation qui pourrait être soumis à toute subjectivité. C’est là que la DATA permet d’y voir plus clair.

Padraig Harrington précisait dans une interview  que dans ces moments de pression la DATA était une alliée sûre. Cela se fait par exemple pour confirmer un choix émotionnel fait par le capitaine.

La société TFG apporte des données qui ne pourraient être identifiées sans les capacités de la Datascience.

Thomas Bjørn a reconnu, après la victoire de la team EU en 2018, que l’analytic des Data a eu une part importante dans la victoire du collectif.

L’épanouissement des joueurs ensemble. Le lien du collectif ou le sentiment fort d’équipe sont les ingrédients d’une alchimie.

Cette alchimie mène une équipe de Ryder Cup vers la victoire.

 

Open Championship, le tournoi qui réunit le plus de joueurs internationaux avec différentes compétences. (from Thought Leadership TFG article)

Article complet à lire ici .

3/ Le combo gagnant Joueur – tracé de Parcours

Au delà de l’expérience que peut avoir chaque joueur dans une compétition telle que la Ryder Cup, d’autres analyses sont importantes.

Par exemple, les capacités de chaque joueur dans les différentes formules de jeu.

Le capitaine était rassuré sur le choix de Sergio Garcia. En effet, en tant que wildcard, les performances et les signaux faibles de l’espagnol, via les data collectées, étaient meilleures que ses résultats pris indépendamment des uns des autres.

La sélection des pairs pour le 4 balles et les foursomes a été définie en fonction du format. Egalement de la capacité de chaque joueur par le passé a surperformer sur ce format de jeu.

A cette équation s’ajoutait le tracé du parcours. Au regard de ces analyses, la recommandation de faire jouer Francesco Molinari et Tommy Fleetwood paraissait évidente.

Le premier matin, Les Européens étaient sur le point d’être menés 3-1. On envisageait des changements de dernière minute pour les foursomes de l’après-midi.

Finalement après lecture des data, on a rassurer le capitaine et ses vice-capitaines. Il fallait « s’en tenir au plan ».

4/ et maintenant…

Toute donnée, même mineure, est considérée comme un diamant à fort potentiel, une fois travaillé. La data prend de plus en plus de place dans la décision dans le business du sport. Cela va de la publicité, au sentiment du joueur en passant par ses performances et sous-performances.

Ainsi, A l’instar de Thomas Bjorn, il y a bien longtemps, Daryl Morey était le Directeur des Houston Rockets. Il avait construit des modèles statistiques permettant de prédire les performances des joueurs de basket-ball professionnels dès 2007

Grâce à cela il a conduit les Rockets au troisième meilleur record des 30 équipes de la NBA au cours de la décennie.

 

Golf National – flags Ryder Cup 2018

Nous aussi, au START-UP GOLF CHALLENGE, on connait bien la data dans le sport, un de nos précédents vainqueurs, Cédric Mangaud a fondé la Start-up PIQ.

PIQ permet la collecte de data via des capteurs sur les joueurs ou accessoires de joueurs (ex: Clubs de golf)

Nous avons également, la chance au START-UP GOLF CHALLENGE, d’avoir le soutien d’un partenaire Expert de la data :  POLARYS.

POLARYS, data intelligence accompagne de nombreuses sociétés mais aussi des fonds d’investissements dans leur architecture data. De la conception (Think) à l’implémentation (Build) jusqu’au Run, Polarys apporte l’expertise.  De la data architecture et de la Datascience, Les experts Polarys accompagne ses clients dans leurs challenges Data

Un occasion de rencontrer notre partenaire à la 5ème édition de Paris du START-UP GOLF CHALLENGE le 17 septembre 2021 au golf de l’isle Adam

START-UP  GOLF CHALLENGE et MY PITCH IS GOOD

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Fabrice Clément –> #mytwitter / #mylinkedin

Eric Guigné est le Président Fondateur de POLARYS, une Entreprise de Services Numériques spécialisée dans la DATA et qui accompagne plus de 300 sociétés parmi lesquelles, les Fonds d’Investissements. Entrepreneur mais également Business Angel, il répond à nos question lors de la 5ème édition du START-UP GOLF CHALLENGE de Paris

1/ La Data pour les fonds d’investissements, est-ce un sujet ?

Effectivement, l’enjeu dans le private equity c’est de pouvoir récupérer un maximum de Data, et d’analyser un maximum d’informations pour prendre les meilleures décisions.

Les meilleures décisions d’investissement, de vente, de pilotage des entreprises achetées, pour les fusionner ou pour leur permettre de se développer.

Le métier de POLARYS, c’est de proposer des consultants, des experts sur toutes ces problématiques de DATA. Récupération de données, d’analyse de données pour implémenter des plateformes d’aide à la décision pour les décideurs du Private Equity.

Beaucoup d’informations sont possédées par ces sociétés de gestions permettent de gérer leur propre performances. Cependant, il y a encore plus d’informations à l’extérieur que ce soit via l’open Data à via de la donnée payante de Data Provider. C’est une mine d’or et c’est un enjeu très important pour les fonds pour trouver les meilleures opportunités de croissance.

Suivre ses investissements grâce à la data

2/ Comment POLARYS Apporte t’elle des compétences auprès des Fonds d’investissements

Le métier de Polarys, c’est de faire du conseil et de l’intégration autour des problématiques de la Data et de la décision.

Donc du conseil, c’est d’analyser les besoins de nos clients, de leur recommander les meilleures solutions, X, Y ou Z, parce qu’il y a beaucoup de solutions technologiques sur le marché et c’est difficile pour nos clients d’y voir clair.

Les experts de la DATA sont capables de faire cela en toute indépendance, car POLARYS n’est pas un revendeur de solution ou un acteur d’une seule solution technologique.

On évalue toutes les solutions possibles du marché pour le Mid-market comme pour les très grands fonds internationaux, pour les fonds qui font de la Mezzanine, pour les fonds qui font du Fonds de Fonds ou encore du LBO.

 Vous recherchez des financements ? Déposez votre dossier et nous vous contacterons pour vous aider à vous rendre visible auprès de notre réseau d’investisseurs. MY PITCH IS GOOD vous accompagne et vous met en relation avec des investisseurs.

My Pitch Is Good

Tout cela est relativement différent, les besoins sont différents. Les processus de levée de fonds sont différents, les processus de Due Diligence sont différents et donc il y a des besoins d’outils différents.

POLARYS propose une première activité qui est ce qu’on appelle le « Think ». C’est le conseil en amont pour recommander les bonnes architectures.  Ensuite, on accompagne.  On ne se contente pas de dire « vous devriez faire ça ».  Mais on aide concrètement nos clients, avec des engagements sur les résultats, à mettre en place ces systèmes d’informations.

Ces architectures ou ces plateformes leur permettent de mieux voir leurs investisseurs, leurs clients, leur portfolio, la performance de tout leur écosystème et aussi de se comparer et faire du benchmarking, ce qui est également très important pour les fonds.

3/ Quels types de Fonds d’investissements font appel à POLARYS

On doit avoir une trentaine de clients qui sont répartis entre des petites sociétés de gestion qui gèrent 2 ou 3 fonds. Généralement il faut avoir au moins 2 ou 3 fonds pour que ça devienne un petit peu compliqué et qu’il soit nécessaire pour monter un système d’informations.

Nos plus petits clients gèrent moins d’un milliard, on parle de quelques fonds à quelques centaines de Millions.

Jusqu’à des très grands fonds comme ARDIAN en France ou ADIA dans les émirats qui sont évidemment des fonds records que l’on connait qui sont les plus grands en Europe ou les plus grands fonds souverains dans le monde. Bien sûrs ces fonds ont des problématiques relativement différentes.

C’est la Même chose mais c’est fois dix ou fois cent. Les outils, les méthodes et les équipes font appel à des technologies différentes.

Chez POLARYS, on a la chance de pouvoir servir tout ce spectre de client qui font parfois que du fonds de fonds, parfois que du direct, parfois de la Mezzanine, Parfois du Real Estate, qui font différents classes d’actifs.

4/ Comment s’est passée ta journée au START-UP GOLF CHALLENGE ?

« Le parcours était magnifique. C’est un super golf, bravo pour le choix. »

« J’ai joué comme je sais joué au golf, c’est à dire avec quelques beaux Coups et puis tout le reste, je les ai déjà oublié ».

« Mais j’ai joué avec un partenaire de jeu qui travaille dans le Private Equity justement, qui est très bon, et donc on a fait une bonne moyenne.

5/ et le Concept de MY PITCH IS GOOD ?

« C’est une superbe plateforme à laquelle on est très heureux de s’associer, parce qu’on aime bien ces rencontres entre les porteurs de projets, les inventeurs, les start-ups et puis évidemment il y a besoin de les financer, et c’est vraiment un super endroit pour les faire se rencontrer. Donc bravo pour cette belle initiative! »

POLARYS est partenaire de la 5ème édition de Paris du START-UP GOLF CHALLENGE qui s’est tenue le 17 septembre 2021 au golf de l’isle Adam

START-UP  GOLF CHALLENGE ,et MY PITCH IS GOOD

Découvrez l’interview de Eric Guigné sur notre page Youtube MY PITCH IS GOOD

Interview réalisée par Fabrice Clément –> #mytwitter / #mylinkedin

 

Le R&A et l’USGA sont responsables de l’édition des règles du jeu de golf depuis sa création. Mais, en 2014, une réflexion sur la simplification et la compréhension de l’application desdites règles a été entamée. La nouvelle édition 2019 est le fruit de ces réflexions et remet parfois en cause nos bonnes vieilles habitudes. Petit tour d’horizon des nouvelles règles applicables :

1/Soyez prêt à jouer différemment

1/ Si vous déplacez accidentellement votre balle en la recherchant, il n’y a plus de pénalité

2/ Si vous déplacez accidentellement votre balle ou votre marque sur le green, il n’y a plus de pénalité

3/ Votre balle en mouvement touche accidentellement vous-même, votre équipement, caddie, drapeau… il n’y a plus de pénalité

4/ Au lieu de dropper à hauteur d’épaule, la balle est maintenant droppée à hauteur de genou

5/ Le temps de recherche d’une balle éventuellement perdue passe à 3 minutes au lieu de 5.

Vous pensiez que c’était fini, mais toujours pas…

Rickie Fowler s’amusant des nouvelles règles, START-UP GOLF CHALLENGE

6/ Vous pouvez dégager une balle pluggée partout (sauf dans un bunker), sauf si une règle locale ne restreint la zone qu’au fairway

7/ Vous pouvez changer de balle à chaque dégagement, sans pénalité (après avoir marqué une balle sur un green par exemple).

8/ Il n’y a plus de pénalité si une balle est frappée depuis le green et qu’elle heurte le drapeau laissé dans le trou.

9/ Vous pouvez réparer tous dégâts sur le green. Cela ne se limite plus aux pitchs et traces d’ancien trou.

10/ Vous pouvez toucher le green ou votre ligne de putt en indiquant la cible tant que cela n’améliore pas les conditions du coup.

2/ Prêt à jouer ?

Cette dizaine de nouvelles règles sera d’une grande utilité, tant lors d’une compétition comme le START-UP GOLF CHALLENGE, que pour accélérer le rythme de vos parties hebdomadaires.

Le livre des règles a été entièrement repensé, rendu bien plus ludique et accessible grâce à des schémas explicatifs. Un vrai coup de jeune sur des règles centenaires !

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter le site officiel du R&A

 

START-UP GOLF CHALLENGE – Inscription PARIS

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Thomas Morant

 

La bonne stratégie pour un partenariat gagnant-gagnant avec une start-up est essentielle. Une conférence au HUB PBI a permis de mieux cerner ce que l’on attend de chaque partie. En voici un résumé :

1/ La relation start-up et grand compte, une relation Win-Win

Du point de vue du Grand Groupe, l’innovation passe par une accélération de la numérisation. La collaboration avec les start-ups permet de croiser les synergies dans les développements nécessaires.

Du point de vue des start-ups, le lien financier avec l’entreprise apporte un résultat significatif. Le volume d’affaires pourrait devenir rapidement important

Des deux côtés, l’approche stratégique passe par une ambition commune : LE DÉPLOIEMENT.

En effet, tout lancement d’un POC nécessite une bonne évaluation des besoins afin de ne pas perdre de temps dans des développements fastidieux et coûteux.

Trop souvent, la relation s’arrête là, juste un POC ! Mais il est important d’aller plus loin, de cadrer le développement et d’optimiser le déploiement.

La start-up et l’entreprise ont une feuille de route commune. Elle sert à savoir dans quelle direction aller, et comment créer de la valeur. Afin d’aider la relation entre les entreprises et les start-ups, le Hub de la BPI a publié un outil très utile. Le DEAL MEMO, son nom, est un document qui est mis à la disposition des entreprises pour faciliter la conclusion de contrats avec les start-ups en tenant compte de tous les éléments.

Different steps into the relationship between a Corporate and a Start-up

Collaborative steps between corporates and Start-ups to get an overview of a win-win relationship

2/ Les Principes de la relation

Dans le graphique ci-dessus, nous remarquons les différentes étapes importantes pour permettre une relation structurée dans la relation WIN-WIN.

Le DEAL MEMO de BPI définit les éléments clés de la relation :

• L’identité des acteurs, les porteurs de projet.
• Le cœur de la proposition (avec le contenu, les engagements, les attentes, les accords, …)
• Le coût (intégration et support)
• Le caractère innovant et l’analyse stratégique des risques
• La dépendance économique de la start-up vis-à-vis de l’entreprise (un point important).
• La confidentialité et la gestion des données
• Les annexes de la relation.

Ce document facile à remplir établit le cadre de la collaboration en définissant les indicateurs clés de performance et les étapes critiques du développement de la relation, du POC au déploiement.

L’intérêt de l’Entreprise est de pouvoir profiter de l’agilité de la start-up pour trouver de nouveaux services et de nouveaux clients. Il est donc important de cadrer les moyens mis à disposition par cette dernière.

En effet, l’entreprise aura plus de facilités pour débloquer des situations. Elle pourra assurer un budget pour mettre la start-up en confiance dans ses actions. Tous deux définiront une feuille de route en tenant compte des délais nécessaires aux différents tests.

Un suivi par le Corporate assure également une bonne visibilité pour la Start-up sur la valorisation de sa proposition de valeur, où elle se situe.

Ci-dessous des interviews de start-ups réalisées pendant VIVATECH par digitalbusinessnews

digitalbusinessnews.

Generally, once the tests are done and the Start-up has convinced the Corporate to launch the deployment, the ROI starts very quickly.

3/ Les risques à mesurer pour la start-up

Les risques mesurés par une entreprise pour valider un POC doivent être prises en compte par la Star-up.

Un des risques majeurs est la cannibalisation d’un service ou d’un produit. La start-up doit démontrer une approche différenciante et surtout ne pas mettre en péril la relation existante. Cela passe par l’expertise des équipes, son agilité par rapport à celle du Corporate, ou encore le temps gagné.

Cela permet de rester concentré sur le cœur de métier pour le Corporate tout en contrôlant la start-up dans ses développements pour atteindre la cible de clients et obtenir le bénéfice rapidement.

Maintenir le cap. Dans le cas du développement d’un produit ou d’une solution pour le cœur de métier, il est important que les dirigeants des deux parties aient la même vision. Dans ce cas, nous passerons au co-développement qui est plus gratifiant pour une start-up car il assure la durabilité de la relation.

4/ Le déploiement

Le déploiement doit passer par un engagement fort du côté de l’entreprise. Il est nommé un « sponsor » qui s’implique dans le projet et qui se porte garant du contact avec les opérationnels en assurant l’autorité nécessaire pour faire avancer le projet ou débloquer des situations.

Ce sponsor est le lien qui permet de définir les besoins nécessaires au déploiement et d’aider à la contractualisation. Il modifie les objectifs en fonction des possibilités en interne (ressources disponibles et rapidité d’exécution).

START-UP GOLF CHALLENGE – La Relation entre le Corporate et la Start-up

Le sponsor suit le déploiement. Il fixe le cadre et aide les opérationnels à comprendre. Il filtre les demandes pour rester « Focus » et préserver la start-up face au mécanisme internet (processus et autres) qui peut avoir un véritable effet de rouleau compresseur.

Le sponsor fournit un feedback opérationnel sur la solution. Il forme les équipes et les accompagne dans le déploiement. Cela n’est pas évident, et certains grands groupes ont créé un département dédié spécifiquement au déploiement.

Le sponsor identifie également les leviers d’adoption de la solution. Comment la solution va changer au quotidien les choses opérationnelles.

5/ La contractualisation avec la start-up

La contractualisation doit être simple et légère pour permettre à la solution d’évoluer. Il est en effet important de pouvoir faire un pivot ou de modifier le Business Model sans trop de contraintes. Il faut toujours garder cette agilité.

S’engager sur un coût utilisateur plutôt qu’un coût global, permet de gérer le déploiement. Il est important de se mettre d’accord sur les conditions de paiement. Une bonne gestion du BFR est essentielle. Permettre à la start-up de se déployer est un rôle pour le Corporate. Le budget alloué pour cela est généralement pris sur la Direction Générale ou sur la Direction de l’Innovation.

L’Entreprise est également garante de la banque. Elle peut aider la start-up à lever des fonds ou à emprunter de l’argent.

L’article a été rédigé suite à une conférence au Hub BPI France avec l’intervention de Stéphane PERRIN, Business Developer au HUB. Plus d’informations suite à le lien.

START-UP  GOLF CHALLENGE ,et MY PITCH IS GOOD

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Durant cette journée du START-UP GOLF CHALLENGE, de nombreuses occasions vous sont offertes pour présenter votre Start-Up et déclamer votre pitch sous différentes formes.

La session de l’Après-Midi « MY PITCH IS GOOD » est un moment important pour les entrepreneurs. Les Start-ups qui le souhaitent seront présélectionnés par nos partenaires,  et viendront « pitcher » devant une audience pas encore acquise à leur cause.

La particularité de « My Pitch Is Good » c’est que vous n’avez qu’un seul support : votre voix !

Par conséquent, pas de vidéo-projecteur, pas de slides sur lesquelles on serait figés. Ici c’est votre prestance, votre charisme qui parlera, vos mots auront une grande importance. Ils traduiront votre manière et votre ton grandiloquent.

Pour cette journée, on va vous donner un petit coup de main, et vous donner trois petits conseils pratiques apportés par des professionnels.

1/ La Posture

En effet, Si vous avez déjà pris quelques cours de Théâtre, vous vous souvenez certainement de ce que disais votre professeur.

« Tenez vous droit, soyez fier de ce que vous représentez, donnez à votre corps le meilleur des languages » car ceci est dans le but de traduire l’assurance et la motivation qui vous animent.

Vos mains « parlent », elles appuient votre discours, ne les sous-estimer pas.

2/ Practice

Un terme « golfique » que vous connaissez forcément ! vous devez absolument avoir le même sérieux qu’au « Driving Range ». Entrainez-vous devant la glace de votre salle de bain en vous rasant le matin, ou au bureau devant vos associés/collègues. Peu importe le lieu, le moment, ou l’environnement. Mais venir sans vous êtes entrainé serait une erreur fatale. Nous avons trop vu de dirigeants qui présentaient le projet avec un dynamisme proche de celui la tortue.

3/ Votre discours, Votre Pitch

Déclamer un discours, avoir le sens de la rhétorique ou de la formule, est une qualité à travailler.

Ceci vient rejoindre le point numéro 2. Utilisez les phrases avec lesquelles vous vous sentez à l’aise. N’allez pas chercher des mots d’esprits qui ne vous ressembleraient pas. Ils risqueraient d’être mal perçus, ou anachroniques.

« keep it simple »! Utilisez votre « Wording » . Travaillez votre discours pour vous permettre un ton accrocheur et ainsi vous assurer de captiver l’audience. mais le « too much » serait là aussi fatal.

Nicolas Boileau-Despréaux écrivait : « Une idée qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément »

Voilà, il ne vous reste plus qu’à vous entrainer, et à vous inscrire sur mypitchisgood.com pour participer le 1er JUIN 2018 durant le START-UP GOLF CHALLENGE, à la session MY PITCH IS GOOD.

 

On peut se demander comment Tiger Woods est devenu une des personnalités des plus emblématiques du golf !  Nous allons rapidement faire un retour sur la carrière de celui qu’on nomme le « Tigre »

1/ La Jeunesse de Tiger Woods

Eldrick Tont Woods est né le 30 décembre 1975 en Californie. Il est considéré par beaucoup de Golfeurs comme l’un des plus grans golfeurs que les parcours de golf n’aient jamais porté. Son père est un ancien Vétéran du Vietnam. Il le surnomma rapidement Tiger en hommage à un de ses amis qui avait combattu à ses côtés.

Son père, Earl Woods, l’initia très rapidement au Golf. En effet, son père avait un handicap de 3. Par conséquent, le jeune tiger pouvait compter sur un apprentissage rapide et efficace des fondamentaux du swing.

C’est à 3 ans que sa notoriété se lance dans l’emission de Mike Douglas. En effet, il se présente sous les applaudissements de l’acteur Bob Hope pour présenter son premier swing en direct à la télévision.

Cette médiatisation soudaine était due à un exploit déjà remarqué par son Papa. En effet, A l’age de 2 ans, Tiger réalisait sur un Par 9 (donc 36 coups) un score de 48. Sa première victoire, ce fût pour ces 3 ans. Son père l’inscrivit dans une compétition des moins de 10ans sur un Pitch and Putt. Tiger reparti avec son premier trophée.

Son premier entraineur Rudy Duran, ne s’imaginait pas que ce petit bonhomme, deviendrait ce champion exceptionnel.

A 5 ans Tiger, assis sur le genoux de Fran Tarkenton, était l’invité dans l’émission « That’s Incredible ».

C’est également à cet âge, que son premier article dans Golf Digest parut

Puis, c’est l’enchainement de réalisations du petit prodige. En effet, il remporte le championnat de monde Junior à 6 reprises puis à 9 ans, il rend sa première carte en dessous des 80 coups. A 12 ans il est « scratch » ! et pousse même jusqu’à 70 coups.

2/ Ses débuts professionnels

Ses débuts professionnels sont remarqués car très rapidement, il signe un contrat de 40 millions de $ avec NIKE et de 20 Millions de $ avec Titleist.

Le Tigre booste l’économie du Golf. On parle du « Tiger Effect », car sa présence aux tournois devient indispensable pour les sponsors et les médias. Le montant de la dotation remise au gagnant, entre 1996 et 2010, a été multiplié par 4.

c’est en 1997 qu’il remporte son premier grand Majeur, le Masters avec un score de -18. il poursuit sa lancée et gagne 3 autres tournois la même année et devient N°1 mondial.

Avec presque 1 milliard de $ amassés, Tiger Woods a été pendant longtemps le sportif ayant gagné le plus d’argent dans sa carrière.

3/ Et maintenant que va-t-il faire ?

Il revient sur le tour cette année après plus d’une année de convalescence due à des problèmes de dos et c’est aujourd’hui que débute le Hero World Challenge . Par conséquent, nous pouvons en conclure que Tiger Woods est prêt à rencontrer les meilleurs joueurs du circuit.

Dustin Johnson, Rickie Fowler ou Justin Thomas seront de la partie pour aller chercher les 3,5 Millions de $ de dotation.

N’oubliez pas de venir vivre l’expérience du START-UP GOLF CHALLENGE 2018 en cliquant ici.

Le 1er JUIN 2018 était un jour attendu par les entrepreneurs qui participaient à la deuxième édition du START-UP GOLF CHALLENGE. On vous fait un petit résumé de la journée. Celle-ci a été largement couverte sur les réseaux sociaux et dans les médias.

1/ La Compétition

Huit heures du matin, les joueurs commencent à arriver, tout est prêt pour les accueillir, café, vienoiseries, jus d’orange et un petit paquet appelé le « Welcome Kit » dans lequel se trouve entre autres, un relève-pitch de chez Zanahary, une boite de balle logotées START-UP GOLF CHALLENGE, des tees et, Ryder Cup oblige, un super polo Balata au couleurs orange pour les investisseurs et bleu pour les entrepreneurs.

Une ambiance conviviale se met très rapidement en place et les premiers échangent se font au club house entre les entrepreneurs et les investisseurs.

Les consignes de jeu sont données, les parties annoncées, et force est de constater que cette 2ème édition présente au départ, beaucoup plus de Joueuses que l’année précédente !

 

 

 

 

 

 

 

Cela laisse présager des complémentarités très intéressantes, car ces dames sont beaucoup moins présomptueuses et jouent généralement avec plus de constance  :).

Enfin, c’est l’enchainement de pars et de birdy sur le parcours. C’est un temps idéal pour jouer au golf, doux, pas de vent, pas de pluies, ciel gris clair pour permettre une belle lumière et un contraste avec les verts des greens du Golf du Prieuré.

2/ Le déjeuner

Après une animation Trackman offerte par notre partenaire Journal du Golf et une pause gourmande offerte par Infotel, c’est avec un peu de retard que le déjeuner débute dans la salle de réception à l’étage.

Les plats s’enchainent. Au coup de Gong c’est une nouvelle place à une nouvelle table pour le participant Entrepreneurs ou Investisseurs désireux d’optimiser son Networking.

C’est à ce moment précis que nos speakers viennent partager une tranche de vie. Un projet, des tendances, mais également leur expertise. Steve PEGUET, directeur de l’innovation du groupe ATOS France offre à l’audience un résumé de qualité sur la 1ère étude FrenchTech. Celle-ci met en avant le rapport entre les Start-ups et les Grands Groupes.

 

 

Ci-dessus, Steve PEGUET, Head of Innovation ATOS – speaker at the SUPGC 2018

Mr Tanguy DE LA FOUCHARDIERE, Président de France Angels, fédération nationale des Business Angels partenaire de l’évènement depuis le début a également apporté une témoignage éclairé sur les tendances en terme d’investisseement et en a profiter pour féliciter l’équipe du START-UP GOLF CHALLENGE pour le superbe travail accompli.

 

3/ Pitch de Start-up

4 Start-ups sur 17 dossiers ont été sélectionnés par notre jury très eclectique:

Jury MY PITCH IS GOOD 2018

• Cécile BASSOT, Investisseuse et membre de Femmes Business Angels (FBA)
• Florence RICHARDSON, Investisseuse et co-présidente de FBA
• Carol ETCHEBARNE, Chief Strategy and innovation office chez CUNNINGHAM Lindsey
• Carla MALEH, Expertise en transformation et innovation
• Gael LEONE, expert en projet de transformation dans des contextes de Fusion/Acquisition
• Etienne GROSS, Investisseur et Membre de Paris Business Angels.
• Gabriel JARROSSON, Serial entrepreneur, Crypto investor et Advisor
• Frédéric SCHMITT, Investisseur PSI et Groupe Amaury
• Christophe BERTRAND, chef d’entreprise CITEOS
• Sylvain THEVENIAUD, Managing Director de l’accelerator d’Allianz

les startupers prennent le micro pour pitcher et répondre aux questions :

Adrien SAVARY pour la société TECH4RACE. Anthony MOLLE pour Civitime. Alejandra DEL BUSTO pour MC360, et Thomas de ROQUANCOURT pour IRENE ENERGY

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4/ Remise de Prix

C’est après une petite ondée passagère que la remise des prix s’est faite sur la grande Terrasse, un verre de champagne à la main sous le soleil.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On vous donne rdv pour la belle en 2019… mais avant cela, vous avez la possibilité de tenter l’expérience du  START-UP GOLF CHALLENGE Genève en cliquant ici 🙂

vous pouvez en savoir en lisant cet article  :